La méthode SAK-COUÉ.

C'est sûr qu'à côtoyer des français obligés d'emprunter pour faire manger la famille, qui se retrouvent au chômage au terme d'une bonne formation professionnelle, qui passent à côté des aides et n'arrivent pas à boucler leur budget ou se retrouvent en faillite à l'âge de la retraite sa valise à la main, question descente aux enfers pour toucher la réalité du doigt TF1 a fait fort. 

La réunion « Tupperware » du Président de la République était en tous cas plus intéressante que les duels médiatiques avec les habituels journalistes. 

Du coup ceux-ci ne se privent pas de dénigrer et l'opposition fait caisse de résonnance et le contraire aurait été étonnant. 

Dommage qu'il n'y en ait pas eu un qui trouve le temps de demander au « Petit Nicolas » s'il ne serait pas d'accord pour revoir à la baisse son augmentation de salaire et d'autres, pour revenir à des proportions plus acceptables entre la France d'en bas et les dirigeants. 

Ce que le Président a dû comprendre c'est qu'à ce train là les français ne sont pas prêts d'être en position de pouvoir rembourser la dette du pays. Si cela pouvait faire comprendre qu'il faudrait gérer mieux les dépenses.